Le Qatar, derrière l'assassinat de Chokri Belaïd ?

Le Qatar, derrière l'assassinat de Chokri Belaïd ? 

Le professeur franco-syrien Bassam Tahhan accuse clairement le Qatar d'être derrière l'élimination de Chokri Belaïd. Il vient de le déclarer à la radio iranienne d'expression française. Cette thèse est tout à fait possible car Chokri Belaïd est l'un des rares hommes politiques tunisiens à avoir violemment critiqué le Qatar ces dernières semaines. Ce qui confirmerai d'ailleurs l'implication d'Ennahda dans cet assassinat politique, puisque ce parti est aux ordres de Doha. Quelques heures avant sa mort, Chokri Belaïd a accordé une interview au journal "Al-Khaliij" (le Golfe) qui parait à Sharjah. Il a employé l'expression "crime politique" seize fois, a affirmé que ce qui se passe en Syrie est une conspiration israélo-américaine soutenue par les pays du Golfe, et qu'Ennahda préparait des plans terroristes en Tunisie. Propos largement suffisants aux islamistes pour le liquider physiquement. T.S. reproduit ici un article tel qu'il a été publié dans le journal "Algérie Patriotique", aujourd'hui 7 février 2013. 

De plus en plus de voix s’élèvent pour accuser le Qatar d’être l’ordonnateur de l’assassinat de l’opposant tunisien Chokri Belaïd, secrétaire général du parti des Patriotes démocrates unifié. Bassam Tahhan, politologue et professeur de géostratégie de renommée mondiale et auteur de plusieurs livres sur le monde arabe, dans une interview à la radio iranienne francophone, n’a pas hésité à accuser le Qatar d’être derrière cet assassinat, jetant ainsi un véritable pavé dans la mare si pestilentielle de cette monarchie qui ne cesse de faire parler d’elle à travers le Globe. La raison ?
Pour ce spécialiste du monde arabe, «Chokri Belaïd a beaucoup critiqué le Qatar». Une semaine avant son assassinat, il avait multiplié les sorties médiatiques pour dénoncer les prédicateurs islamistes du Golfe qui venaient «semer leur poison» en Tunisie. Il avait accablé l’Arabie Saoudite et le Qatar, deux pays à la doctrine dangereuse pour le peuple tunisien. «Tout le monde sait que le Qatar a aidé le parti Ennahda à arriver au pouvoir. Tout le monde sait aussi que le Qatar est en Libye et que probablement l'arme du crime viendrait de Libye, puisque les armes livrées par l'Otan à ce pays passent maintenant dans les pays voisins, la Tunisie, le Mali, et d'autres...», a souligné Bassam Tahhan qui a mis en garde les autres pays arabes contre cet «ami» qui est le Qatar.

Tunisie-Secret.om
S.B. Algérie Patriotique

Les membres du gouvernement français directement impliqués

 
L'année 1952 voit l'échec des négociations directes entre les gouvernements français et tunisiens suivi de la répression : arrestation d'Habib Bourguiba et de tous les leaders nationalistes, départ de Salah Ben Youssef en mission auprès des Nations unies, instauration du couvre-feu et de l'état d'urgence ou interdiction de toute activité politique, actions de ratissages menées par la Légion étrangère, destitution du gouvernement de M'hamed Chenik.

Dans ce contexte, l'UGTT se retrouve en première ligne en assumant la responsabilité de diriger la résistance politique et armée contre les autorités du protectorat. En effet, elle reste protégée par la loi sur les libertés syndicales et le soutien de la CISL, des syndicalistes américains ainsi que des démocrates qui sont alors au pouvoir aux États-Unis.

Leader du mouvement national et chef de la résistance, Hached organise secrètement les groupes d'activistes dans les locaux de l'UGTT pour mener des attaques armées contre les symboles de l'autorité française. Il mène également des actions de grèves et de mobilisations malgré l'arrestation de plus de 20 000 personnes.

Hached voyage en avril auprès de la CISL à Bruxelles et aux États-Unis (Washington et New York) pour porter la voix de la Tunisie au moment où les questions tunisiennes et marocaines sont débattues au Conseil de sécurité. Le gouvernement français se trouve alors acculé à présenter un nouveau plan de réformes. Hached suggère alors au bey de Tunis de réunir un conseil de quarante personnalités représentatives de l'opinion tunisienne afin d'étudier ce plan et de lui présenter leur avis le 2 août ; la réponse est négative avec un rejet dûment circonstancié.

Il devient alors l'homme à abattre en raison du danger qu'il représente pour les intérêts de la colonisation en Tunisie et en Afrique du Nord en général. Dès le mois d'octobre, des officines diverses au sein des services secrets français commencent à étudier divers plans : son éloignement du territoire tunisien, son emprisonnement, sa mise en résidence surveillée voire son assassinat. Pendant ce temps, il fait l'objet d'une surveillance permanente et les menaces se multiplient à travers des tracts signés de l'organisation colonialiste de la Main rouge. Des actes de sabotage et de plastiquage de sa maison et des menaces à l'encontre de sa famille se multiplient. Les appels au meurtre se font insistants : certains articles de journaux de Tunis, Casablanca et Alger appellent « à frapper Farhat Hached nommément à la tête ».
Le 28 novembre, on peut lire dans l'hebdomadaire nord-africain Paris dirigé par Camille Aymard :

« Avec Ferhat Hached et Bourguiba, nous vous avons présenté deux des principaux coupables. Nous en démasquerons d'autres, s'il est nécessaire, tous les autres, si haut placés soient-ils. Il faut, en effet, en finir avec ce jeu ridicule qui consiste à ne parler que des exécutants, à ne châtier que les « lampistes » du crime, alors que les vrais coupables sont connus et que leurs noms sont sur toutes les lèvres. Oui, il faut en finir, car il y va de la vie des Français, de l'honneur et du prestige de la France. « Si un homme menace de te tuer, frappe-le à la tête » dit un proverbe syrien. C'est là qu'il faut frapper aujourd'hui. Tant que vous n'aurez pas accompli ce geste viril, ce geste libérateur, vous n'aurez pas rempli votre devoir et, devant Dieu qui vous regarde, le sang des innocents retombera sur vous[3]. »

Au matin du 5 décembre 1952, une opération de guet-apens est exécutée pour éliminer Hached. Une première voiture le suit, à la sortie de Radès, ville de la banlieue sud de Tunis où il habite. Des rafales de mitraillettes sont tirées de la voiture qui s'enfuit à toute allure. Blessé à l'épaule et à la main, Hached trouve la force de quitter sa voiture.

Quelques instants plus tard, une deuxième voiture apparaît avec trois hommes à bord ; s'apercevant qu'il vit encore, ils s'en approchent et l'achèvent d'une balle dans la tête avant de le jeter à moins d'un kilomètre au bord de la route.

À midi, la radio annonce sa mort qui provoque un soulèvement dans tout le pays ainsi que des manifestations à Casablanca[4], au Caire, à Damas, à Beyrouth, à Karachi, à Jakarta, à Milan, à Bruxelles et à Stockholm. Le journal socialiste Nord-Matin titre dans son numéro 2572 : « Émeutes sanglantes à Casablanca. 40 morts et nombreux blessés.  
Après l'assassinat de Farhat Hached et les maladresses du résident, les troubles s'étendent à l'Algérie et au Maroc ». Plusieurs personnalités françaises dénoncent cet assassinat au travers de leurs articles, de leurs déclarations, de leurs pétitions ou de leurs démarches, tels Daniel Guérin, Roger Stéphane, Claude Bourdet, David Rousset, René Louzon, Alain Savary ou Charles-André Julien.

Après sa mort, l'enquête judiciaire se perd dans des instructions successives accompagnées de propagandes, fausses pistes et diffamations diverses. Selon une note de G. Lewis Jones, consul général des États-Unis à Tunis[6] :
« L'enquête judiciaire, toutefois, est toujours en cours sous ce que les journaux appellent un « black-out complet ». Divers témoins se seraient retirés dont le chauffeur de l'une des « voitures de la mort ». Néanmoins, un doute considérable est exprimé sur le dernier point. Cela semble être la politique actuelle de la résidence, maintenant que l'ordre est apparemment donné, de laisser graduellement plus de marge à la presse dans le but de contrecarrer les premières impressions malheureuses qu'il y ait eu quelque chose de mystérieux et de scélérat dans la manipulation française du cas. »
En 1955, le dossier Hached est officiellement clos sur le plan juridique sans avoir déterminé avec certitude les coupables de l'assassinat.

Le 2 décembre 2012 à Radès, le fils du fondateur de l'UGTT, Noureddine Hached, parle des circonstances de l'assassinat de son père après soixante ans et souligne que le projet pour lequel ce dernier a sacrifié sa vie est encore vivant en faisant référence à l'UGTT.
 Il indique que l'enquête judiciaire sur le meurtre de son père se poursuit malgré que la justice française ait décidé de classer l'affaire[7].

Plusieurs théories circulent alors sur les commanditaires de son assassinat : un Français agissant seul, des rivaux politiques, des camarades souhaitant donner une dimension tragique à la question tunisienne aux Nations unies, un complot communiste en raison de sa proximité avec les Américains, des officiels français.

De nos jours, l'État français maintient la version selon laquelle Hached a été assassiné par des colons extrémistes.

Cependant, c'est la piste du complot d'État qui reste privilégiée : les autorités du protectorat, en connivence et sous l'influence directe de colons radicaux, auraient planifié et organisé cet assassinat selon Charles-André Julien[8].

Les membres du gouvernement français apparaissent comme ayant été directement impliqués dans la prise de décision afin de gérer le « cas Farhat Hached ». Selon Juliette Bessis, « le crime a été organisé très haut.

 Je dis : l'armée, la politique, la police »[9]. L'équipe chargée d'assassiner Hached aurait été composée de policiers en activité, de jeunes colons et de truands notoires selon Antoine Méléro, ancien membre de La Main rouge[10].

 Selon lui, « Hached a bien été assassiné par la Main rouge qui avait reçu l'ordre de le faire.
La Main rouge était une organisation dont l'État français se servait pour ne pas se mouiller.

 De toute façon, il fallait se débarrasser de Hached, d'une façon ou d'une autre »[9]. Pour Jean Baklouti, ancien fonctionnaire de la DST à Tunis, La Main rouge était en effet « une nébuleuse de policiers français et de gros colons couverte par les services d'action du renseignement français »[9].

Dans un documentaire diffusé le 18 décembre 2009 sur la chaîne d'Al Jazeera Documentary Channel, un ancien agent des services secrets français, Antoine Méléro, approuve cet assassinat

 Source : Encyclopédie Universelle Wikipédia.
http://latunisiededina.blogspot.com/




La descente aux enfers wahhabites de la Tunisie,

La descente aux enfers wahhabites de la Tunisie, par Salem Ben Ammar

Il n'est un secret pour personne qu'il s'agit d'un rôle de composition et qu'ils ne manqueront pas de dévoiler leur vraie nature  des soldats de l'ombre et ressortir leurs crocs venimeux et incendiaires telles des lances-flammes. Ceux dont ils avaient fait usage à la fin des années 70 jusqu'au début  des années 90 et l'attentat sanguinaire de Bab Souika : 2 morts. Jamais les islamistes n'avancent à visage découvert, ils se voilent le visage comme ils voilent leurs femmes, pour ne pas effrayer l'opinion publique tunisienne et leurs propres affidés.Ils se doivent  de se fondre dans le paysage pour mieux surprendre leurs proies.

Ils ne sont pas Dr Jeckill et Mr Hydre. Ils sont tels ces serpents des marais de la mythologie grecque, qu'on appelle les hydres combattues et vaincues par Hercule qui dans le cas de la Tunisie ne peut être que le peuple lui-même, patriote, solidaire et déterminé comme jamais pour arracher le pays des griffes des forces miliciennes, obscurantismes et mercenariales à la solde des pétromonarques wahhabites et fascistes..  On ne saurait les juguler et les contenir si on se garde de mettre en exergue et ignorer  le soubassement idéologique de cette secte mystico-mafieuse d' ennahdha et sa haute toxicité sur l'état de santé mentale des masses et sa nocivité sur le devenir démocratique et civilisationnel des populations musulmanes frustrées des libertés publiques, individuelles, politiques, cultuelles et confessionnelles depuis plus de 1400 ans. Des populations vivant sous la domination étouffante et asphyxiante d'un système idéologique qui utilise la religion comme un moyen de gouvernement de la vie des gens dans les moindres petits détails y compris celui de la pensée. Ainsi, l' islamisme collaborationniste qui fait son retour fracassant et effrayant sir la scène tunisienne annonciateur d'une nouvelle  Saint Barthélémy et de la Nuit de Cristal  a pour principale mission d'assurer la propagation de ce système totalitaire de caractère théocratique et maintenir la population opprimée par l'ancien régime despotique par tous les moyens sous l'emprise totale et absolue sous le joug wahabbite en les enserrant dans les mailles acérées du filet.

La propagande wahhabite et ses vernis islamistes tunisiens ne lésinent pas sur les moyens pour dévoyer l' esprit de la Révolution et la rendre évanescente aux Tunisiens. Abusant de la crédulité, surfant sur le sentiment de peur et de culpabilité des damnés de la terre (les laissés pour compte de l'ancien régime) et de la tendance fâcheuse chez certains à vendre leurs âmes au diable, ils mijotent leur cuisine électorale avec des ingrédients simples mais hautement toxiques pour les règles du jeu démocratique: intimidation, manipulation, corruption, exaltation de l'âme musulmane, glorification de la splendeur islamique, appel au meurtre, incitation à la haine raciale, antisémitisme, libération de la Palestine, stigmatisation de la laïcité et des droits de la femme, remises en cause de la citoyenneté tunisienne, réinstauration de l'oumma, exorcisme, idolâtrie, achat des voix, intimidation , menaces physiques et verbales, ukase religieux,  inquisition, takfirisme, anathèmes, pogroms etc...Leur technique de propagande de nature sectaire repose sur deux piliers qu'on peut résumer ainsi : nourrir les fantasmes des foules frustrées et opprimées d'une part et d'autre part verser l'obole (bakchich) aux partisans.

Dans un pays ou la corruption était érigée en système de gouvernement, les islamistes ne font que perpétuer et respecter les moeurs du pays. Les Tunisiens qui ont fait pourtant une révolution pour la dignité et la probité sont en train de passer outre tous les symboles attachés à ladite révolution pour se laisser soudoyer et corrompre par les agents du djihadisme islamique.Une révolution censée permette au peuple de renouer avec ses valeurs de paix, d amour et de tolérance et de générosité ressemble de plus en plus à une cour des miracles et de propagande religieuse. Les mosquées se sont transformées en espaces d'instrumentalisation de la religion pour assouvir les desseins hégémoniques des Wahhabites qui ne lésinent pas sur les moyens pour faire de leurs mercenaires tunisiens les futurs maîtres de la Tunisie.

Le processus démocratique entamé depuis le 14 janvier 2011 s'est en réalité mué en processus de vassalisation de la Tunisie, de sa wahhabisation rampante, plus inquiétant encore de sa nazification, à laquelle s'attelle l'organisation sectaire, félonne et terroriste d'Ennahdha.
www.tunisie-secret.com
Salem Ben Ammar 

GRAVE Marzouki a gardé une oeuvre d'art à 800 000 euros appartenant à BEN ALI

Scandale à Carthage : Moncef Marzouki nostalgique du 7 novembre. Voici la preuve
Marzouki a demandé à Hollande de « solder l’héritage Sarkozy », en oubliant lui-même de solder l’héritage Ben Ali. Dans l’interview accordée à BFM-TV, un détail a échappé aux observateurs tunisiens et français, mais pas à Tunisie-Secret : dans le salon où s’est déroulée cette interview, un trophée symbolisant le 7 novembre 1987, que le locataire très provisoire de Carthage a oublié de retirer ! Ainsi, Moncef Marzouki qui s’est, une fois de plus, érigé en donneur de leçons à la France et même en réformateur du « système mondial », demande à François Hollande de « solder l’héritage » de son prédécesseur sans se rendre compte que dans le salon où il reçoit son visiteur, trône le symbole suprême de l’ancien régime. Comme le ridicule ne tue plus dans cette république bananière, il dit même au journaliste de BFM-TV : « Nous sommes entrain d’enterrer l’ancien sans que le nouveau soit tout à fait là ». T.S va prouver à ses lecteurs que l’ancien est non seulement encore là, mais qu’il est juste en face de ce président fantoche. Enquête exclusive sur un scandale explosif.
Pourquoi Tunisie-Secret s’est arrêtée sur ce détail ? D’abord parce que Moncef Marzouki est un sacré menteur. En novembre 1987, comme Rached Ghannouchi et bien d’autres révolutionnaires aujourd’hui, il a été parmi les premiers à féliciter Ben Ali après son accession au pouvoir. Ensuite, parce qu’après sa nomination comme président par Rached Ghannouchi, il a continué à mentir, notamment lorsqu’il a déclaré aux Tunisiens qu’il a sorti des caves du palais le grand portrait de Bourguiba pour l’exposer dans un salon du palais. C’est absolument un mensonge, ce portrait a toujours été exposé dans la grande galerie du palais de Carthage, aux côtés de tous les Beys husseinites qui se sont succédés à la tête de la Tunisie. Marzouki fait semblant de respecter Bourguiba. A part l’hypocrisie, la duplicité et la démagogie, Marzouki partage avec Ghannouchi une haine pathologique à l’égard du « combattant suprême », Habib Bourguiba. Troisième raison, ce président a eu pour premier conseiller un ancien haut cadre du RCD, qui a démissionné depuis que T.S a révélé ce scandale, et il a nommé à la tête de l’Institut d’Etudes stratégiques un certain Tarek Kahlaoui, ancien militant d’Ennahda, ancien cadre-chercheur au sein d’Al-Jazeera, ancien et actuellement collaborateur de Freedom House, et ancien lèche-botte de Sakr El-Materi. Ceci pour l’introduction.

Des phrases qui en disent long sur Moncef Marzouki
          

Avant le croustillant, on commence par quelques autres petits détails qui sont pour nous tout aussi importants que le scoop déniché aujourd’hui par T.S. Cette récente interview accordée à BFM-TV que nos lecteurs peuvent visualiser intégralement sur d’autres sites, commence par la question d’un journaliste qui maitrise son métier et qui connait les règles de la bienveillance : « deux ans après le départ du président Ben Ali, un an après votre arrivée à la présidence, quel bilan… ». Ce journaliste français de BFM-TV ne parle pas de « président déchu » ou du «Al-rais al-maklou », comme certains scribouillards et politicards endoctrinés par les propagandistes islamistes d’Al-Jazeera, mais du « président Ben Ali » ! Nous adhérons et nous employons dans T.S tous les autres termes - dictateur, autocrate, tortionnaire, corrompu…- mais pas les termes qu’Al-Jazeera fabrique et que certains tunisiens reprennent comme de vulgaires perroquets et de misérables esclaves de la chaine qatarie.

Second détail : sur la petite table qui sépare le journaliste français du président provisoire, il n’y a pas un vert de thé ou de café, pas même une bouteille d’eau. C’est plutôt curieux dans un pays où les Tunisiens, gouvernants comme les gouvernés, savaient recevoir l’étranger. Mais ce n’est pas étonnant dans un palais où certaines secrétaires se promènent en « chlakha  », selon le témoignage du journaliste tunisien Safi Saïd, qui dit d’ailleurs lui-même n’avoir pas eu droit à un verre d’eau !

Troisième détail, Moncef Marzouki déclare au journaliste : « Notre constitution va fonder la Tunisie pour un siècle ou deux siècles ». Après le débat hautement intellectuel de cette illégitime et médiocre Assemblée constituante, sur la charia et la complémentarité de la femme par rapport à l’homme, on s’attend plutôt à ce que cette constitution fasse reculer la Tunisie d’un ou deux siècles.

Quatrième détail, Marzouki dit : « Les jeunes veulent manger les fruits d’un arbre qui vient d’être planté…C’est une difficulté d’ordre psychologique » ! Tenez donc, cela voudrait dire que les jeunes qui croient avoir fait une grande « révolution » et grâce auxquels Marzouki est aujourd’hui à Carthage et les islamistes au pouvoir, que ces jeunes ont un problème psychologique. Peut-être, après tout ! Et nous en faisons partie.

Cinquième détail au sujet de l’affaire Rafik Bouchlakha, qui a été révélée par Olfa Riahi, Marzouki dit : « Il y a en Tunisie une liberté d’expression qui comporte beaucoup d’effets pervers, beaucoup d’accusations… ». Ainsi, les coucheries de Bouchlakha avec sa « cousine » au Sheraton et aux frais de la princesse n’est pas une affaire très grave révélée par une journaliste qui fait son travail, mais un effet pervers, une accusation qui découle d’une liberté d’expression mal comprise.

Sixième détail, Marzouki déclare : « J’ai fait mon boulot, j’ai fait mon métier en tant que président ». Ceux qui l’ont précédé à cet endroit, le grand président Bourguiba et le général Ben Ali, ne considéraient pas la présidence comme un métier, encore moins comme un boulot, mais comme une vocation, un sacerdoce au service de la nation. Marzouki fait effectivement son boulot de président fantoche, désigné par Rached Ghannouchi pour services rendus à la cause islamiste, et chargé de mener le pays jusqu’à l’accomplissement de la dictature religieuse.

Une œuvre d’art qui représente le 7 novembre 1987 et que Marzouki conserve à Carthage
         

Venons-en maintenant au détail qui a échappé à tous le monde. Dans ce salon présidentiel où s’est déroulée cette interview (voir vidéo ci-dessous), juste derrière le journaliste de BFM-TV, on remarque un trophée représentant le chiffre 7 avec au-dessus une forme circulaire. Intrigué par cet objet qui orne ce salon, Tunisie-Secret a voulu en savoir davantage. Nous avons donc mené notre enquête et le résultat est accablant : nos informateurs, y compris au palais, nous ont affirmé que ce trophée est à cet emplacement depuis des années et qu’il s’agit d’un cadeau offert par le ministère de la Culture avec cette inscription gravée : « A Monsieur le Président de la République, Zine Al-Abidine Ben Ali, l’artisan du changement historique » ! Que la forme circulaire au-dessus du 7 représente en réalité un disque, puisque l’événement immortalisé par ce trophée était a priori un festival de la chanson. Ce sont les seul éléments qui étaient en notre possession avant de mener notre enquête. Voici ce qu’elle révèle.

Il s’agissait en effet de la neuvième édition du festival de la chanson tunisienne, qui a été organisé en 1996 par le ministère de la Culture. Le trophée en question a couté très cher et il a été fabriqué en France. Et pour cause : il a été réalisé (moulage) par la Fonderie d’Art Landowski, nom du célèbre sculpteur figuratif et fondeur Paul-Maximilien Landowski. C’est dans cette Fonderie familiale qu’ont été réalisé les 7 d’Or, les Molières et même certains Oscars de films ou chansons américains. Quant au sculpteur de ce trophée, il s’agit du non moins célèbre Edgar Morineau, celui qui a crée pratiquement tous les disques d’or en France. On est pour le moins surpris que les tunisiens aient fait appel à une Fonderie et à un sculpteur aussi renommés et onéreux. Tunisie-Secret a alors voulu en savoir plus.

Nous nous sommes donc rendus à la Fonderie d’Art Landowski où nous avons découvert le mystère. Ce trophée n’a pas été commandé et payé par le ministère tunisien de la Culture, mais par un richissime homme d’affaire franco-tunisien dont nous préserverons ici l’anonymat. Nous avons appris que ça lui a couté à l’époque 3 millions de francs (450 000 euros), c’est-à-dire 900 000 dinars, pour les six trophées ; car il y a eu six, en effet. Cette année-là (1996), le 1er prix a été attribué à la chanteuse Dorsaf el-Hamdani. Le second prix à été attribué à Saber Rebaï, et le troisième prix, à Chokri Bouzayane. L’homme d’affaire franco-tunisien a gardé pour lui un exemplaire. Un autre a été conservé par la Fonderie Landowski dont nous avons pris la photo ci-jointe. Quant au sixième, c’est celui qu’on voit dans le salon du palais et qui a été offert à Ben Ali par le ministre de la Culture en 1996, M. Salah Bakkari.

Cela vaudrait plus cher que les slips de Ben Ali

Telle est donc l’histoire de ce trophée que Moncef Marzouki a gardé au palais de Carthage et qui représente le symbole même de l’ancien régime que ce président provisoire est « entrain d’enterrer ». Compte tenu de la valeur, pas symbolique mais financière de cette œuvre d’art, Marzouki devrait enlever ce trophée du palais et le remettre au salon d’exposition et de vente des montres, des costumes, des cravates, des chaussettes, des slips de Ben Ali, ainsi que des bijoux de Leila Trabelsi qu’elle a probablement reçu comme cadeaux des princesses du Golfe à l’époque où elle trônait sur la Tunisie. Cette œuvre d’art estimée aujourd’hui par les amateurs d’art et les collectionneurs entre 500 000 et 800 000 euros, compte tenu de la signature d’Edgar Morineau et de Landowski, et qui pèse 11 Kg de bronze véritable patiné à l’ancienne, selon les Fonderies Landowski, pourrait être vendue aux enchères et l’argent pourrait servir à renflouer les caisses d’un Etat qui a fait faillite en deux ans. A moins de consacrer cet argent à la construction de la grande mosquée Ghannouchi dans sa ville natale, ou à la reconstruction du mausolée de Sidi Bousaïd, récemment dévasté par les flammes de l’obscurantisme. Ou, ce qui serait encore mieux, de l’offrir à la sainte Mannoubia Bouazizi, la mère du premier « martyr » de la révolution du jasmin, qui mérite bien un mausolée.
Tunisie-Secret.com

Karim Zmerli avec la collaboration N.B    

Autopsie des pratiques propagandistes de la Nahdha Ghannouchiste


La Conquête des Mosquées
                 Le recours au détournement de l’usage des mosquées à des fins politiques mobilisatrices par des masses populaires mécontentes, à l'égard des promesses du gouvernement de transition, a ouvert la voie à l’exploitation de cette atmosphère de recrutement irrégulier d’adhérents et de partisans au courant Islamiste par la Nahdha. Les lieux de prières se sont transformés en locaux de lavage de cerveaux pour la mobilisation populiste. 
           Ces dérives d’usage des mosquées ont toujours contraint la pratique religieuse des prières par les apolitiques.  
           Cette attitude a, à son tour, provoqué des étincelles et des susceptibilités avec le reste du spctre de la société civile .  

Victimisation et Double Discours
           Néanmoins, les barons de la politisation de l’Islam en Tunisie n’ont cessé de se victimiser afin d’accaparer  les tribunes et les plateaux des télévisions à vocation commerciale pour divulguer un discours à double tranchant : Démocratie et Intégrisme oscillant entre les ruses, les tromperies et les fictions sans pour autant déclarer leurs véritables convictions à propos de la citoyenneté, le pluralisme, la liberté personnelle et collective, de la société civile , du statut de la femme , de leur opinion et position à la reconnaissance d’Israël  face à l’installation d’une ambassade de l’état Hébreux à Tunis et réciproquement à Tel Aviv.

Générosité Nahdhaoui ou corruption politique
          La générosité des Nahdhaoui au dessous des table associées à
leurs moyens de mobilisation sont loin de pouvoir transformer une mutation hybride des esprits en facteurs de robotisation des sans-espoirs à des fins criminelles au nom de l’Islam et du Jihad pour contrarier les courants modernistes et le progrès du pays par le terrorisme d’esprits et de faits.
          
          
Insouciance , Manipulation et Simulation d’Innocence
           Le Q.G des Nahdhaoui ont bien omis, avec préméditation, de préciser nettement et clairement les motifs et les raisons ainsi que les délits qui les ont poussé à fuir la Tunisie pour demander l’asile politique à l’étranger dès l’accession du Président Zine El Abidine Ben Ali à la magistrature suprême.
          Il ne leur resterait qu’à violer les centres psychiatriques au monde Arabo-Musulman pour synthétiser des bombes humaines suicidaires afin d’exiger leurs règles du jeu au paysage politique en Tunisie.

Objectifs Nahdhaoui de Long Terme
          Cette règle du jeu n’est qu’un précurseur à l’instauration de l’Empire d’un Royaume Islamiste où les frontières des états Arabo-Musulmans sont dissoutes pour revenir à l’ère de la vie tribale de conquête, d’invasions et d’embuscades.

Conception de Violence
          Cependant, leurs capacités logistiques clandestines ont toujours constitué un pilier d’informations, de renseignements, de directives, de supervision et de coordination  par leur patron Rached Ghannouchi.
     En fait, Les antécédents criminels du Mouvement de la Tendance Islamique en Tunisie ont, toujours, témoigné de la terreur de violence tenue comme conviction et moyen de riposte politique pour ce courant Islamiste afin de lui permettre de conquérir un espace politique dans le paysage de la société civile avant de s’accaparer de la magistrature suprême par la voie de l’embargo religieux concurent.

Rached Gannouchi 
     Par ailleurs, ce Rached Ghannouchi est très mal placé pour parler de l’Islam modéré dont la Nahdha présume faire partie afin de prétendre une mentalité moderne de démocratie et de respect des droits de l’homme. Un faux discours de non-violence pour un faux Martin Luther King a déjà enraciné la méfiance et l’hésitation à l’adoption populaire des conceptions du mouvement « Nahdha » pour lever cet embargo administratif de ségrégation politique.

     Rached Ghannouchi  se prend pour un Méga-Ayatollah dans le savoir Coranique et dans les thèses politiques de démocratie et de respect des droits de l’homme. Alors qu’il ne s’agit que d’un générateur de drames, de sang et de larmes pour ses alliés et leurs entourages qu’il a abandonnés à l’inertie, en toute lâcheté, entre les prisons, la maladie et la misère atroce pour profiter longuement de leurs sacrifices loin des yeux des indiscrets. 

Les explosions des Hôtels de Sousse et de Monastir , le 02 Aout 1987
                     Il est à noter que ce Rached Ghannouchi a, toujours, nié d’œuvrer pour s’innocenter hypocritement de sa culpabilité criminelle de tout acte terroriste fanatique notamment des explosions criminelles intégristes aux Hôtels de Sousse et de Monastir, survenues au soir du 02 Août 1987 dont les instigateurs et les agents d’exécution n’étaient que des Nahdhaoui "Hamadi Jebali, Salah Karker, Abdelmajid Mili, Fathi Maatoug, Mohamed Chemli" qui comptaient troubler les festivités du 84° anniversaire du défunt Zaïm Habib Bourguiba par des exécutants qui ont été exécutés.

                     A son avis, cette terreur n’était qu’une  expression d’indiscipline au sein de son Mouvement de la Tendance Islamique puis qu’il était déjà incarcéré en prison à cette époque. 

Cocktail Molotov
                    Les attaques Islamistes aux bombes Molotov contre les forces de l’ordre public n’étaient aussi que de la plaisanterie à la façon de Rached Ghannouchi et ses partisans. 

Jets d’Acide Nitrique Concentré
                                        En outres, ses théories et pratiques de brûlures caustiques par le jet de l’acide  concentré aux visages des victimes innocentes gardent, encore à ce jour, les empruntes de la démocratie attendue sous la gérance politico-théologique de la Nahdha en Tunisie  : le Nahdhaoui Abderrazzak Mezgrichou est l'un des principaux acteurs de ces crimes

Mentalités Criminelles Nahdhaoui
                  Les victimes et leurs parents n’attendaient que le retour de l’étranger des véritables coupables et des commanditaires de ces actes criminels de l’été 1987 en Tunisie. La vague des jets d’acide nitrique et sulfurique aux visages des innocents dans la voie publique n’expliquait qu’une mentalité criminelle au nom du Jihad des fanatiques intégristes fondamentalistes Nahdhaoui en Tunisie.
                     D’après Rached Ghannouchi, ces incidents constituaient, simplement, une plaisanterie de mauvais goût de la part de ses partisans à l’égard de leurs cibles bien choisies.

Enlèvement et séquestration du Doyen de la faculté
                     L’enlèvement du Doyen d’une faculté à l’Université de Tunis n’était, à son tour, qu’une conduite déplacée de ses partisans.

Agressions Estudiantines
                     Les descentes agressives nocturnes des Apaches Nahdhaoui contre les étudiants dans les foyers universitaires ont semé la terreur dans le milieu éducatif.

Hold up de Postes de Police
                    Les hold up Islamistes effectués dans les postes de police et l’agression des agents de l’ordre public n’étaient aussi que des manœuvres Nahdhaoui du cinéma politique Islamiste.

Terreur au Campus Universitaire
                    La terreur des partisans du Méga-Ayatollah Rached Ghannouchi s’est propagée à l’université par la dissémination du langage des battons, des chaînes, des couteaux et de la pose de clous sur la trajectoire des véhicules de police au cours des poursuites des agresseurs Nahdhaoui.

Exhibitionnisme Intégriste
                   Ce folklore Islamiste n’était que de l’exhibitionnisme politique intégriste fondamentaliste de secte criminelle islamiste : «  Nahdha » .

Opacité Acquise au Jihad
            En ce sens, je suis en mesure de porter défi aux imminentes sommités de l’élite Islamiste en Tunisie et dans le monde pour étaler, identifier et définir la notion du Jihad médiatiquement en toute objectivité afin de pouvoir lever cette qualification criminelle polluante attribuée injustement  à l’Islam.
Les binômes de Jihad et crime, Jihad et sang, Jihad et larmes, Jihad et angoisse, … n’expriment qu’une frustration et un acharnement obsessionnel fanatique non contrôlé témoignant d’une composante mélancolique de sectes fondamentalistes Musulmanes criminelles. 

Déclarations de Presse Mensongères
                     Mais, à  entendre parler Rached Ghannouchi aux tribunes médiatiques et face aux caméras, personne ne pourrait croire ses yeux devant un aussi pieux honnête homme de loi et de foi. Son sourire hypocrite a, toujours, voilé son fond de médiocrité intrinsèque bien cachée dans ses allocutions médiatiques religieuses et conceptuelles. Sa mimique instable contemple des propos utilisés en noyau de gravitation dont les oscillations sont imprévisibles à la décharge impulsive d’un résidu criminel. Mais, Rached Ghannouchi n’ose affronter sa vérité et celle de ses alliés.   
              
                A ce propos, le fond des déclarations de presse mensongères de Rached Ghannouchi exprime, à ce jour, une stérilité politique et une impuissance de passage à l’acte et à l’action par des traîtres à la Charte du Policier et au Serment du Soldat engagés dans les rangs de l’autorité au pouvoir.

Groupe Sécuritaire
         L’échec de la tentative du coup d’état militaro-policier Islamiste Nahdhaoui du 08 novembre 1987 traîne encore, à ce jour, ses séquelles dramatiques chez tous ceux qui ont cru à un bras cassé dont les fausses promesses ont poussé à l’impasse sociopolitique et à une paralysie de la société civile en Tunisie.
                   Le méga-Ayatollah Rached Ghannouchi garde toujours la responsabilité des actes criminels commis au nom des motivations du M.T.I ainsi que des préparatifs de la mise en œuvre de tout un processus de coup d’état militaro-policier « le groupe sécuritaire » pour renverser le défunt Zaïm Habib Bourguiba de son trône le Dimanche 08 novembre 1987.

Infiltration Intégriste Fondamentaliste des institution de l’état.
                   La « Nahdha » a toujours infiltré les institutions militaires et policières de l’état pour y  semer sa gangrène fanatique délirante de trahison et de complot à des fins idéo-théologiques. 

Grace Présidentielle et Ingratitude Nahdhaoui
                   D’ailleurs, malgré la grâce présidentielle attribuée à ce groupe sécuritaire de fanatiques intégristes fondamentalistes le 05 novembre 1988, une récidive de coup d’état a été aussitôt renouvelée à titre de remerciement d’ingrats et de récompense malsaine à la générosité et à la tolérance mal placée d’un président déchu qui s’est vu dans l’obligation de modifier l’itinéraire de son parcours politique à la magistrature suprême.

Revirement Préventif du processus Démocratique
                  Serrer l’étau, montrer ses griffes pour défier les harcèlements et les persécutions Islamistes de la Nahdha en Tunisie, telles étaient les origines du comportement officiel au revirement autoritaire précoce pour défendre la démarche suprême et l'itinéraire politique du régime.

Blocage du Processus Démocratique
                  L’attitude comportementale de l’état-major de la Nahdha y est responsable d’une grande part de culpabilité. Ce mouvement intégriste Islamiste fondamentaliste « M.T.I » n’a pas facilité la transition démocratique en Tunisie et n’a collaboré qu’à compliquer la situation sociopolitique pour la traîner à l’impasse et crier échec à la démocratie. 

Discours Intégriste Propagandiste 
       Il est, cependant, nécessaire de mettre au clair les ruses et les tromperies utilisées par le discours mensonger de l’état-major et des Lords de la Nahdha sans pour autant tomber dans les enchères et les surenchères politiques de leurs discours propagandistes de victimisation.

Objectif de Rached Ghannouchi à Cours Terme
               L’objectif de Rached Ghannouchi n’est, au fait, qu’un règlement de compte personnel avec Zine El Abidine Ben Ali. Mais la lacheté du méga'Ayatollah Rached Ghannouchi l'a poussé à remettre les pieds en Tunisie après le 14 Janvier 2011. Quel défi ? Quel courage ?
               Ses méthodes et moyens d’usage ne puissent le déresponsabiliser de toute attitude ayant conduit à la pollution du paysage politique en Tunisie par des actes de terrorisme fanatique fondamentaliste Nahdhaoui.

Discours et Coalitions Incompatibles 
               Son recours en solitaire à l’anti-propagande n’a jamais été entendu. Mais, après son association incompatible aux alliances des fonds de commerce du marketing politique des spéculateurs et des opportunistes de la dernière pluie,  Rached Ghannouchi comptait offrir une matière première aux marchands des droits de l’homme qui l’ont toujours ignoré avant que nombreux collabos du régime ne soient régurgités des viscères de l’autorité au pouvoir. 

              Avec des alliances politiques stériles et incompatibles associées à des composantes périmées d’une société civile abandonnée à l’inertie, le méga-Ayatollah Rached Ghannouchi persiste encore dans la voie de l’erreur.
              La Nahdha ne pourrait se démarquer de cette mouvance de chahuts médiatiques persistant pour  simuler un délire euphorique d’influence populaire inexistante à travers des vestiges et une carapace de ruines appelées virtuellement «  institutions de la Nahdha » qui voilent la vérité de ses origines criminelles. 

Moyens de Lutte et de Militantisme 
               Le méga-Ayatollah, Rached Ghannouchi, n’a cessé d’user de tous les moyens trop bas pour conquérir brutalement le pouvoir suprême et instaurer sa  propre oligarchie Islamiste Nahdhaoui sans tenir compte des répercussions nocives de cet affrontement entre deux entités, politique et idéo-théologique, issues d’un même pays, d’une même langue et d’une même religion.

Contexte Sécuritaire 
               Le contexte sécuritaire local s’est, donc, trouvé confronter à la légitimité historique des uns face à la légitimité religieuse des autres où le patriotisme est mis en hors jeu.

Affrontements avec les Forces de l’Ordre Public 
              Rached Ghannouchi ne pourrait jamais nier son ultime responsabilité dans les affrontements de terrain entre ses fanatiques alliés et les forces de l’ordre public au cours de sa présence en Tunisie.

Solidarité avec le F.I.S et sa Bra,nche Armée G.I.A pour la Culture de Violence
              Mais aussi, il ne pourra, jamais,  nier son attitude de solidarité avec le Front  Islamiste  du  Salut «  F.I.S. » responsable d’une guerre civile en Algérie.
              A son passage en transit à ce pays voisin, Rached Ghannouchi n’a pu laisser à sa population que la culture de la violence et de la mort pour montrer son soutien à l’insurrection générale au nom de Dieu et de l’Islam.

Solidarité avec le Dictateur Saddam Hussein à l’Invasion du Koweït 
                 Il a simulé combattre une dictature policière en Tunisie, mais en l’occurrence, il n’a pas manqué de porter son soutien et sa solidarité au Dictateur Saddam Hussein en Irak au moment de l’invasion du Koweït.
                Ce mega-Ayatollah s’est démasqué pour étaler en public  son fond criminel dans lequel baigne un immense désir profond de revanche et de vengeance.

Manœuvres du Clan Ultra-Fondamentaliste de la Nahdha 
                        Il ne pourrait nier aussi la submersion et la domination des décisions du clan ultra-fondamentaliste dans les orientations de la Nahdha :
           A la clôture des réunions clandestines du bureau politique du Mouvement de la Tendance Islamique « M.T.I. », un arrière-congré , de mi-nuit à l’aube , a toujours annulé les décisions prises par la majorité des participants Nahdhaoui, de l’avant-minuit, pour imposer un fanatisme intégriste fondamentaliste poussant le processus politique au blocage de la situation des libertés en Tunisie.
                Libertés, modernité et citoyenneté constituaient les principaux ennemis des orientations théo-féodales de la Nahdha.

Discours Propagandistes et Générosité des Nahdhaoui 
               Les discours apparents de la Nahdha ont, toujours, voilé les véritables intentions criminelles fondamentalistes d’un noyau sado-masochiste qui entretient une mentalité paysanne criminelle rigide et primitive de discordance tribale désordonnant la loi, la constitution et les principes fondamentaux de la religion Musulmane.
               Le verbalisme Nahdhaoui traduit une dislocation comportementale oscillant dans un spectre de protagonisme sensible aux humeurs et aux intérêts de l’état-major Nahdhaoui.
              Ceux qui ne sont pas d’accord avec les orientations criminelles intégristes de la pyramide hiérarchique de la Nahdha ont été toujours exclus de cette organisation clandestine. Mais, ceux qui sont complaisants, dociles, opportunistes et complices aux dérives et aux aberrations de la hiérarchie Nahdhaoui, ont toujours bénéficié de la générosité et de la bénédiction du méga-Ayatollah Rached Ghannouchi.

Profil Confusionnel Nahdhaoui 
              Cette ambiguïté confusionnelle a, toujours, généré un double profil des Nahdhaoui sur un double langage et une double pratique de terrain variant entre la souplesse du discours politique face à la rigueur du discours religieux où l’incompris justifit le non-su et inversement par des méthodes que nul n’ignore .

Prodromes d’Insurrection Sudiste Hostile au Sahel
              Un régionalisme Sudiste s’est constitué en noyau hostile au régime sans rapport avec les convictions idéo-théo-politiques.
              Une marmelade de gauche et de droite regroupe des sudistes réunis par la nostalgie du pays pour déclarer à l’étranger leur opposition aux orientations répressives du Président Zine El Abidine Ben Ali alors qu’ils l’ont bien applaudi et soutenu au point de lui lécher les bottes.

Escroqueries Nahdhaoui sous des Titres de Mendicité et de Solidarité
              La collecte des charités obligatoires de sommes colossales d’argent, à travers les connexions mafieuses des partisans de la Nahdha entre la Tunisie, l’Europe et les pays du Golfe, n’a jamais fait l’objet de contrôle et de bilans  témoignant la transparence des responsables et des superviseurs Nahdhaoui.
              La liste des prisonniers Nahdhaoui a toujours constitué un motif pour demander l’aumône aux richars des pays du Golfe. Mais, la rançon n’a jamais été parvenue à sa destination de principe. Par contre, elle a été , toujours, partagé entre l’état-major de la Nahdha à l’étranger sans que les victimes de Rached Ghannouchi puissent voir ou constater le soutien de leur famille par la Nahdha.
              Un bilan de propriétés privées et de niveau de vie des escrocs de la Nahdha renseignerait sur leurs méthodes préconisées pour fructifier le chiffre d’affaire du marketing politique du fond de commerce «  Nahdha ».
              Ce sujet a été toujours pris en tabou au sein de l’état-major de la Nahdha où l’interdiction a, toujours, simulé le péché.

Mœurs Bizarres et Refus des Lois de l’état civile en vigueur
        En outres, l’abus aux mœurs bizarres n’a pas manqué à la déontologie intégriste fondamentaliste Nahdhaoui. La polygamie et les mariages, non déclarés aux départements de l’état civil dans les mairies, ont trouvé  leur chemin d’expansion par des dérogations extirpées du fanatisme fondamentalistes Nahdhaoui qui n’a aucun respect aux lois en vigueur.

Incubation Nahdhaoui dans les Milieux Sociaux 
             Par ailleurs, profitant du mécontentement des classes populaires démunies, le développement du courant Islamiste Nahdhaoui a trouvé sa culture et sa progression dans les milieux ambiants de la misère et de la haine, véritables catalyseurs des esprits destructeurs.

Hostilité Nahdhaoui à l’Appareil exécutif 
            Rached Ghannouchi a, cependant, réussi à créer une hostilité  associée à un sentiment de refus et de répulsion populaire contre l’appareil sécuritaire qui est tombé dans le piège des provocations Islamistes Nahdhaoui.
           Cette attitude, mal calculée, de mouvement de groupes fanatiques traduit une incapacité et une impuissance de Rached Ghannouchi et ses compagnons à gérer une crise pour se diriger vers le commandement suprême de l’état dans le but de le déstabiliser et de tenter de le substituer. 
            Ce choix d’orientation Nahdhaoui a bien fait des victimes innocentes sans que la situation puisse s’améliorer au sens voulu et attendu.
           La combustion Islamiste des charges religieuses fanatiques impulsives et agressives s’est heurtée à la rigueur de la police et de la magistrature dont les exactions n’ont pas manqué pour maintenir l’ordre public dans un duel voué à l’échec aux rangs des Islamistes Tunisiens.

Expression Criminelle Nahdhaoui et Réparations des Préjudices encourus
           Cependant, les paroxysmes d’incidents terroristes survenus en Tunisie, en 1987, témoignaient d’un fond de résidu d’expression criminelle Nahdhaoui qui reste, à ce jour, sous les décombres du silence de l’impunité judiciaire et des mauvaises surprises politiques contraignant la vigilance de l’autorité au pouvoir.
           Cette expression criminelle de frustration fanatique Islamiste fondamentaliste a toujours généré des victimes sans que Rached Ghannouchi puisse déclarer le forfait face  au déséquilibre de forces et de moyens avec l’autorité de l’état pour limiter les dégâts au sein de ses alliés fondamentalistes.

Complicité de la Société Civile avec l’autorité au Pouvoir à l’éradication du Courant Nahdhaoui du Paysage politique
          La collaboration de toutes les composantes de la société civile Tunisienne avec les services actifs de la police et de la milice du parti au pouvoir s’y est mobilisée et n’a pas manqué, à son tour, à œuvrer aux rangs des irrégularités officielles pour légitimer l’exclusion socioprofessionnelle et le coupe-ressource à tous ceux qui n’ont pas été pris par l’hameçon de la répression de cet acharnement autoritaire.
          La condensation des actes de violations et de dérives n’a, cependant, pu décélérer le rythme et la cadence de l’euphorie officielle qui a radicalisé une forme d’hostilité aux aberrations policières et judiciaires par une mutation, non déclarée, des composantes d’une société civile en métamorphose dystocique.

Complaisance Integriste Nahdhaoui avec l’indifférence de la Centrale Syndicale face aux Exactions officielles 
          Le méga-Ayatollah, Rached Ghannouchi, n’a jamais osé insister dans ses communiqués de protestations à contester et de condamner avec rigueur les révocations administratives abusives de la fonction publique, pour des raisons politiques, de milliers de cadres, partisans et sympathisants de la Nahdha.
          Cette attitude ségrégative n’a suscité qu’une complaisance timide du méga-Ayatollah Rached Ghannouchi, avec l’U.G.T.T, pour canaliser des voies de ré-infiltration et d’appui au sein de la centrale syndicale.
             La brèche sociale, qu’ont engendré les abandonnés à l’inertie et les laissés-pour-compte, a rendu aveugle le patron de la Nahdha par son égoïsme politique maladif.

Participation Nahdhaoui à Distance à la Compétition Successorale
           Ni Rached Ghannouchi, ni les résidus du RCD, ni les intrus à la pyramide du pouvoir, ni les politophytes ne pourraient prendre le relais dans une compétition successorale où les rumeurs et les intox font rages.
          Tricher, par le biais de l’Islam, le pouvoir suprême en Tunisie et induire en erreur les hautes instances et l’opinion publique locale et internationale à l’égard des véritables intentions, convictions et idéologies politiques de violence, de terreur, de manipulation de culpabilité et d’innocence, d’escroquerie, de complots policiers, d’espionnage … ne pourraient légitimer la présence Islamiste dans le paysage politique en Tunisie.
        Le temps de Rached Ghannouchi et l’époque de ses similaires sont révolus.

Conséquences sociales aux Faux Calculs Stratégiques Intégriste de la Nahdha
           La nouvelle génération de la jeunesse Tunisienne ne connaît que les drames qu’a causé le faux calcul stratégique et tactique de Rached Ghannouchi et de ses compagnons pour induire des milliers de familles dans le gouffre des malheurs chroniques au nom du Jihad et du sacrifice divin.
        A ce sujet, il y a bien des coupables du coté de l’autorité au pouvoir, mais, il y en a aussi de véritables criminels du coté de la Nahdha.
       Les deux parties bénéficient chacune d’une immunité à l’impunité sous les statuts administratifs d’appareil exécutif en Tunisie et de "réfugiés" politiques à l’étranger.
           Par contre,  les véritables commanditaires de leurs drames ont pris, en toute lâcheté, le chemin de la fuite à l’autre coté de la mer.

Le Marché de l’Opportunisme politiques des Victimes de la Nahdha
          Par  ailleurs, d’autres se sont bien enrichis des malheurs des victimes de la Nahdha à partir des prérogatives policières, judiciaires et pénitentiaires :  Surfacturations d’honoraires, services de solidarité lucrative et corruption au nom de la légalité et de la défense du respect des droits des de l’homme
          Les opportunistes ont pu se  transformer, ensuite, en défenseurs des droits de l’homme et en opposants politiques après des séances de cosmétiques de plaidoiries et de services payés  obéissant aux ordres dans des circonstances politiques et sécuritaires exceptionnelles.      
            Cette rude épreuve sociopolitique n’a jamais été aussi facile ni à vivre, ni à raconter, soit à l’intérieur soit à l’extérieur de la Tunisie.

Motifs de l’Indifférence Populaire à la Mouvance Elitiste Contestataire Actuelle
            La honte et la déception ont bien entravé le concours à la solidarité avec les faisant-fonctions de défenseurs des droits de l’homme associés aux chargés de missions d’opposants. Cette entité de personnages a toujours véhiculé la notion d’une société Tunisienne terrorisée par les pratiques policières pour voiler sa mise aux bancs des accusés avec les violateurs des droits de citoyenneté et des corrompus de l’état.

Des traitres Tous Ceux Qui Ne Croient Pas Aux Mensonges du Discours Nahdhaoui
          A ce propos, les critiques, les diffamations, les insultes, les …, les … , et les … ont pris une tournure de trahison ciblant tous ceux qui ont désisté des mensonges interminables de l’état-major Nahdhaoui aux promesses d’un retour triomphal des réfugiés politiques Islamistes Tunisiens de l’étranger. Le 14 janvier 2011 à faussé ces prétentions.
             Le discours officiel de la Nahdha a, toujours, prêté illusion, opacité et hypocrisie à l’égard de la démocratie, du respect des droits de l’homme, du statut de la femme, de l’union du Maghreb, de la reconnaissance d’Israël et de l’ouverture d’une ambassade de l’état Hébreux en Tunisie.
         Les normes et les principes universels y sont complètement renversés.
         Le mensonge est sa devise.
         Les ruses sont ses moyens.
         Le profit et l’opportunisme constituent des méthodes de survie et de fluidité de ses tromperies.
        Une résistance au contre-courant érosif de l’infestation toxique  Nahdhaoui des esprits immatures n’est en mesure de trouver une nouvelle assise d’expansion pour un redémarrage d’un vestige agonisant.
         La genèse et la prolifération du terrorisme et du fondamentalisme intégriste international trouvent les conditions favorables chez les Nahdhaoui qui se sont toujours adapter au spectre de l’arc-en ciel.
         Le recours à l’anti-propagande de l’autorité au pouvoir et la collaboration avec les foyers sécuritaires étrangers  ont , toujours ,  disculpé son état-major et son méga-Ayatollah Rached Ghannouchi qui préserve l’intégrité des intérêts de ses siens à l’étranger sans justification d’origine .
           Les déclarations propagandistes des prétendus avocats et procureurs de l’Islam ne peuvent dérouter le commun des préoccupations des  individus pour un report étudié de l’exécution d’un acharnement conflictuel obsessionnel de terrain en cas de capture du pouvoir par les Nahdhaoui et leurs infiltrations maladives au sein des institutions de l’état.

Vacataire pour Hostilité Lucrative à Plein Temps Contre Le Régime Politique En Tunisie
          Un Intégriste fondamentaliste vacataire lucratif, tel que le méga-Ayatollah Rached Ghannouchi, devrait compter les heures d’hostilités au régime pour se remplir les poches à travers la distribution commerciale des ruses et des tromperies criminelles sous le voile de l’Islam.
         La patience des uns a certainement des limites face au profit financier et à l'opportunisme d'un commerçant de drames qui a bien usé du fond de commerce de la Nahdha pour devenir monsieur-pognon en exil.

Marketing Politique Nahdhaoui 
         Mais, pour ceux qui n’ont cessé de sucer le mamelon lucratif à travers les douleurs et les malheurs des autres, la saveur des sacrifices, des gémissements, des souffrances, les grèves de faim des prisonniers politiques et des cris de détresses des naufragés aux fins fonds des barreaux de prisons … n’ont réveillé ni la conscience ni les remords du méga-Ayatollah Rached Ghannouchi et ses compagnons pour s’excuser auprès du peuple Tunisien et assumer leurs entières responsabilités de ce désastre sociopolitique.
       Mais, leurs ruses et tromperies continuent : Après l’avortement de leur projet Islamiste en Tunisie et confirmation de leur orientation stérile, le clan du mal pense se diriger actuellement vers le parasitisme du courant Nationaliste Arabe déjà en déclin et en état d’agonie. Ce groupe de malfaiteurs politiques Islamistes de Rached Ghannouchi ne pourrait vivre en dehors des marécages et des complots.

 Immoralité Intégriste Nahdhaoui
                 De ce fait, les échos décevantes des comportements des Nahdhaoui et leur état-major à l’étranger ne cessent de parvenir en Tunisie pour bien enfoncer le couteau dans la plaie confirmant ainsi  l’immoralité fanatique d’un fond fondamentaliste gangrené par la haine et le désir de faire du mal aux autres dans un cadre de ségrégation ethnique maladive.

                 La collaboration Islamiste avec les foyers sécuritaires d’Europe s’est transformée en matraque-Nahdhaoui redoutable pour affronter l’effritement des sédiments d’un mouvement théo-politique Tunisien dont l’état-major a perdu toute notion de morale et de principes pour survivre.

Le Drame Politique Du Réfugié Islamiste Nahdhaoui en France : Mr. Salah Karkar :
Coup de Traitres Nahdhaoui et Collaborations avec les Foyers Sécuritaires Etrangers
                 Il est à rappeler, en ce sens, que le dirigeant Islamiste Tunisien Mr. Salah Karkar est réfugié politique en France depuis sa fuite, en Octobre 1987, des poursuites policières et judiciaires en Tunisie.
                Il circulait, depuis cette date, librement à l’Hexagone.
                Mais, à la suite d’un complot policier de l’état major de la Nahdha en complicité avec les hautes instances sécuritaires en France, Salah Karkar a été mis en exil sous assignation à résidence surveillée, en solitaire,  dans un hôtel à quelques centaines de kilomètres de Paris .
                Il n’a pu rejoindre sa famille pour des soins de nursing, depuis quelques mois, qu’après avoir été atteint d’une hémiplégie corporelle à la suite d’un accident vasculaire cérébral.
                L’état-major Nahdhaoui n’a pu lui rendre visite de courtoisie à son domicile familial pour se rassurer de l’évolution de son état de santé.
               Quelle finesse relationnelle entre compatriotes à l’étranger ?
               Quel Islam Nahdhaoui ?
              Quels principes de tolérance Nahdhaoui ?
               L’état-major Nahdhaoui n’aurait jamais eu le courage de regarder aux yeux de Salah Karkar.
              Sa peine de solitude, en asile, a bien duré des années pour lui détruire son état de santé par les complots sécuritaires des frères de gamelles de prison et ex-militants pour une cause patriotique commune.
             Rached Ghannouchi est, cependant, bien réjoui.
             Il n’y  pourrait jamais prétendre son innocence.
            C’est un sale coup de confraternité Nahdhaoui traduisant l’immoralité de la mentalité criminelle de Rached Ghannouchi et ses compagnons.

Escroquerie Mafieuse Nahdhaoui Orientée 
             A vrai dire, que tous ceux qui ne partagent les mêmes idées du fatalisme religieux fondamentaliste intégriste de Rached Ghannouchi ne peuvent bénéficier ni de la générosité de son état-major ni d’une facilité de séjour à l’étranger pour l’obtention du statut de réfugié politique.
             Le droit au partage des collectes, des rançons de charité au nom de l’Islam et au profit des prisonniers politiques abandonnés derrière les barreaux, exige une discipline de discrétion, de loyauté et de servitude à sa majesté Rached Ghannouchi.

Capture de Carlos au Soudan et Participation des Affinités des Traitre Intégristes Nahdhaoui au Scandale sous Silence
             La collaboration des Nahdhaoui avec l’enceinte sécuritaire en Europe est bien connue de tous.
             La Nahdha est devenue l’œil de surveillance  de la police Européenne aux mouvements des éléments actifs d’Al Qaida en Occident.
            Rached Ghannouchi et ses compagnons assurent cette besogne à l’étranger pour un profit de régularisation de séjour et de générosité  en Occident contre un service rendu aux départements sécuritaires.
             Quel drôle de service ?
             De manière presque identique à celle de Salah Karkar, une intervention de Rached Ghannouchi auprès du Soudanais fondamentaliste intégriste Islamiste   Hassan Tourabi a permis , à l’autorité française de capturer le Rebelle Carlos à Khartoum au Soudan pour le transférer et le remettre à Charles Pasqua , ministre de l’intérieur en France , contre 50 millions de Dollars .
            Depuis ce sale coup Nahdhaoui, Carlos purgeait une peine carcérale de longue durée en France.
            Ce geste de trahison et de collaboration Nahdhaoui purement policière, parmi tant d’autres, fait partie de la morale fanatique fondamentaliste Nahdhaoui qui obéit au marché de l’offre et de la demande.
          C’est un autre sale coup de trahison Nahdhaoui sous des titres de malhonnêteté  combinée à la servitude policière de son état-major aux foyers sécuritaires étrangers.

La vente Nahdhaoui de leur Compatriote Islamiste Tarak Maaroufi
          Par ailleurs, la capture de l’Islamiste Nahdhaoui Tarak Maaroufi  en Belgique, dans un faux  critère d’appartenance à Al-Qaida, dirige les doigts d’accusation à Rached Ghannouchi et ses compagnons pour la liquidation de leur compatriote dans un contexte de rivalité Nahdhaoui et d’escroquerie manifeste.

La Complicité et la manipulation de Slim Bagga du Jounal « L’Audace »
          La complicité d’un journaliste de l’opposition Tunisienne, à Paris, avec le méga-Ayatollah Rached Ghannouchi a, souvent, été évoquée pour étouffer des transactions d’escroqueries dont Tarak Maaroufi a été victime par les barons de l’Islam à l’étranger. C’est infect et c’est dégluasse.  

Risques de Ripostes des Victimes de Rached Ghannouchi 
               Les exemples sont multiples et honteux à étaler en public car ils risqueraient de mettre en péril la vie des coupables Nahdhaoui qui savent bien ce qu’ils ont commis à l’égard de leurs compatriotes-victimes  de leur marketing politique scandaleux et dégradant au nom de la vertu et de l’Islam.

Rivalités et Susceptibilités Intrinsèques de la Société Civile 
                La déstabilisation de la Tunisie est déjà prévue en cas de faille constitutionnelle ou de vide autoritaire.
                Si  dans une telle actuelle atmosphère de tension sociopolitique, la centrale syndicale, la ligue des droits de l’homme, le barreau, les magistrats et l’appareil sécuritaires se considèrent en tant que partenaires à part entière au pouvoir, le réveil des clans régionaux et financiers risqueraient de déclencher des rivalités et des susceptibilités profondes  capables de traîner une discorde générale dont profiterait la Nahdha.

Ségmentation de la Nahdha à l’intérieur et à l’extérieur du Pays
                Mais, au fait, quelle frange de la Nahdha pourrait sauter de l’autre coté de la rive ?.
                Est-ce la Nahdha lancée dans les bras des coalitions incompatibles et synthétiques d’une opposition politique désintégrée ? .
                Est-ce la Nahdha sécuritaire dont les partisans se sont transformés en collabos de police à l’intérieur et à l’extérieur de la Tunisie ? .
                Est-ce la Nahdha dont les partisans ont changé de vestons pour se  jeter dans les bras du parti au pouvoir ? .
                Est-ce la frange de la Nahdha qui a pris du recul dans tous les sens ? .
                Nombreuses questions nécessiteraient une mure réflexion pour des réponses rationnelles.

La Mimique Indépendiste Intégriste Nahdhaoui 
                Sous des dénominations de faux indépendants et d’étiquettes de pieux marqués par une grisaille ovalaire au front, les Islamistes Nahdhaoui ne cessent de se hâter pour percer la voie du parlement   et des structures municipales élues  afin de simuler un rapprochement médiatique des différentes classes sociopolitiques avec une patience intentionnée douteuse et remarquable en  Tunisie.
               Cette manipulation de la religion musulmane a toujours pris un caractère d’influence et d’intimidation pour justifier une présence et une priorité de représentation médiatique non méritées pour intoxiquer les esprits par la confusion entre le sacré divin et le relatif humain. 

Pollution Mentale Nahdhaoui 
       Préserver l’Islam de la pollution mentale obsessionnelle des partisans fanatiques fondamentalistes de la Nahdha, en Tunisie, est un précurseur de protection de notre jeunesse et de nos richesses naturelles, aussi minimes soient-elles, au fil des générations futures.

Enjeu de Comédie et de Marketing Politique Intrinsèque 
        Un enjeu chronique de comédie politique classique de raz-de-marée  n’a pu reconstituer les ponts de confiance de la Nahdha avec ses anciens alliés et ses partisans pour se repositionner sur la scène médiatique en Tunisie.

        Les perspectives anti-modernistes et les objectifs anti-démocratiques ainsi que l’aspect agressif des formes terroristes constituent les moyens et la finalité de la lutte pour la conquête du pouvoir en Tunisie afin d’exiger des modalités rétrogrades de gouvernance.
        Mais, profitant de certaines situations conjoncturelles du système politico-sécuritaire, les barons de l’Islam et de la politique en Tunisie n’ont su et n’ont pu se réorganiser  formulant ainsi un puzzle déchiqueté par les déceptions sociopolitiques où les véritables commanditaires de délits et crimes ne peuvent déclarer leurs responsabilités dont chacun présume son innocence sinon son indifférence dévalorisante.

           Pourtant, les séquelles dramatiques des victimes du peuple ont bien, au moins, un coupable. 
          Cependant , le  recours politique  des Nahdhaoui aux combinaisons de cosmétiques d’alliances  hétérogènes incompatibles facilite la ré-infiltration d’une gangrène pour un batardisme politique constitué d’antidotes répulsifs et nécrotiques simulant une  fusion pluraliste harmonieuse apparente mais trop  fragile de structures et  incapable de confectionner un front démocratique mobilisateur.
         Cette attitude folklorique plutôt que politique ne fait que reporter l’échéance de l’établissement des réformes démocratiques fondamentales en Tunisie.

Le Clivage Tridimensionnel 
         Le clivage s’est bien creusé entre la société civile, l’autorité au pouvoir et le peuple. L’indifférence de l’homme de la rue aux souffrances chroniques des ex-prisonniers politiques, son insouciance à la solidarité avec les compétences exclues de la vie socioprofessionnelle pour des raisons politiques, sa négligence face à la compression des libertés … trouvent l’origine de l’étendue de cette attitude à un sentiment de méfiance et de rejet des opportunistes et des profiteurs des malheurs des autres qui ont infesté le paysage politique sans aucune légitimité représentative.

            La marginalisation des exigences vitales  faces aux actuelles  précipitations syndicales à l’insurrection générale par l’expansion des grèves de protestation et des sit-in de contestation ne sont que des signes d’irritations et de malaises d’une société en métamorphose de mutation. Cette effervescence progressive tend à provoquer une révision profonde des orientations de bases pour un éventuel salut où une redistribution des cartes serait impérative.

Pronostic Tributaire du degré de l’endurance sociopolitique populaire
         Un silence aréactif et une atmosphère suspecte  cacheraient une indifférence sociale douteuse aux fluctuations des événements locaux et internationaux.
        Les Tunisiens n’ont jamais été ni bêtes ni esclaves de quiconque pour être insensibles à la jauge de l’environnement sociopolitique du pays et de son entourage.
       Un point-mort tendu risque de bloquer le passage au prochain carrefour politique.
       Une mutation profonde surprenante de la société civile Tunisienne est en train de se développer.     
       Le peuple Tunisien n’est en mesure de renouveler l’épreuve politique des affrontements tragiques Nahdhaoui avec les forces de l’ordre public et de payer,  encore,  en exclusivité la facture des duels conflictuels personnels des fonds de commerce politiques relevant des frustrations et des acharnements maladifs de leurs acteurs fanatiques fondamentalistes qui se sont évadés du pays dès qu’ils y ont semé la zizanie…… puis ils se précipités au retour au pays après le 14 Janvier 2011 comme si de rien n'était ... mais, Halte ! la route est glissante ...
                                                                                   
                                                                                 ………A suivre